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Pour un contrôle qualité à la pointe de l'exigence
Agroalimentaire

À quelles exigences devra répondre votre dispositif de vision.

L’agroalimentaire est un secteur des plus exigeants en terme de contrôle. Les enjeux y sont élevés et le niveau d’exigence intransigeant. Les besoins des productions évoluent sans cesse et les outils doivent s’adapter, voir même anticiper ces besoins.
La vision industrielle constitue une solution à la fois pertinente, fiable et efficace, pour une bonne conformité des produits mais aussi pour optimiser la production.
Un bon dispositif de vision se doit de rassembler les outils et l’expertise nécessaires pour assurer un contrôle qualité efficace et pertinent et garantir à la fois :

  • La bonne conformité d’un produit :
    • Contrôler la forme, les déformations, l’aspect, la couleur et ses nuances…
    • Inspecter une surface, une texture…
    • Détecter un défaut : déstructuration, corps étranger…
  • L’intégrité de son emballage : scellage, fermeture, étanchéité…
  • La bonne conformité de son étiquetage :  position, orientation, qualité  d’impression et lisibilité, contrôles des mentions légales : DLC, code à barres/QR Code, poids/prix…
  • Et sa traçabilité, en faisant état des différents événements survenus sur la chaîne de production.

Un dispositif de machine vision permet également le paramétrage d’applications dédiées au guidage des robots pour des opérations de manutentions ou de logistique : dévracage, tri, palettisation- dépalettisation, lecture d’étiquettes…

Les bénéfices sont nombreux.

Optimiser le contrôle, c’est aussi le rendre plus pertinent. En assistant les opérateurs en charge de détecter des défauts parfois ténus, la vision industrielle permet une prise de décision OK/KO moins subjective et donc plus efficace.
Le cercle vertueux du contrôle vise à une réduction des taux de rebus, à réduire les taux d’incidences des ralentissements ou arrêts de production pour un meilleur rendement et une meilleure satisfaction client.

Quelle solution choisir ?

Sur le marché de la vision industrielle, nombres d’applications sont proposées de façon embarquées sur des caméras. Effectivement, certaines applications de contrôles peuvent nécessiter des appareillages particuliers pour mieux « voir » ce qui est de l’ordre du visible ou de l’invisible : caméras UV, domaine visible, infrarouge, SWIR, et pour mieux appréhender chaque contexte et mieux le comprendre : multi/hyperspectral, rayons X, 3D, IA…

Mais logiciel et matériel, aussi innovants et techniquement performants soient t’ils, ne font pas tout.

Se poser les bonnes questions en amont

Un dispositif de vision dédié à un marché spécifique comme celui de l’agroalimentaire, se doit en plus, de tenir compte des normes et exigences de production (hygiène, cadence, ergonomie, flexibilité…).
En l’occurrence, pour l’agroalimentaire, son installation devra répondre aux normes sanitaires et aux procédures de maintenances.

Par exemple :

  • La structure porteuse doit t'elle être en inox plein pour éviter les risques de contamination ?
  • Doit t'elle résister à des jets d’eau chaude à haute pression lors des opérations de nettoyage ?

Pour évaluer l’éclairage nécessaire à une bonne imagerie, il faudra également étudier l’environnement de production relatif à la ligne de production concernée.
Le cahier des charges devra interroger les points suivants :

  • Les articles à analyser présentent t’ils des nuances de couleurs délicates à discerner, des reflets et donc des artefacts à gérer ?
  • Selon les installations existantes sur la chaîne de production et l’environnement lumineux du lieu, quel est le meilleur emplacement pour le dispositif de vision et son éclairage ?

Pour s'inscrire dans une chaîne de production de façon optimale, il est incontournable que le dispositif de vision fasse partie intégrante du processus de fabrication. C'est en concertation avec les équipes en place que l''ingénieur vision envisagera les points suivants :

  • Comment penser l’installation du poste de contrôle pour permettre de répondre aux besoins en terme de cadence et d’ergonomie,
  • Comment faire en sorte que l'interface homme/machine préserve l'humain au coeur du système...

Sans oublier de définir en amont le niveau de flexibilité du dispositif et de son degré de scalabilité à court, moyen et long terme :

  • Le système devra t'il s’adapter à des changements de types de production ?
  • Faudra t'il le dupliquer sur une autre chaîne de production (sur le même site et/ou sur un site distant) ?

... pour assurer la livraison d'une application évolutive, adaptée aux besoins actuels et futurs !

Pour finir, le dispositif devra également fiabiliser la traçabilité avec une remontée des datas en temps réel des événements de qualité et de non-conformité survenu sur la chaîne de production.

Bien vous connaître fait partie de la solution

C’est pourquoi, il est essentiel d’envisager votre solution de contrôle de façon globale et transversale. Un accompagnement par des experts de la vision ayant l’expérience du terrain vous évitera les écueils d’une solution plus ou moins bien calibrée ou adaptée à vos besoins. Leur approche transversale, s’appuie généralement sur un réseau d’experts en automatisme, robotique, installations électriques industrielles, fournisseurs de matériels de pointe, qui fait bien souvent d’eux des apporteurs de solutions beaucoup plus robustes et performantes.

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